Qui suis-je ?

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Qui suis-je ?

Originaire du Pays de Gex, enclave de terre française coincée entre le Jura et la frontière suisse, j’aime la diversité des paysages et les nombreuses activités que la montagne, les lacs et les grands centres urbains offrent au quotidien. je vis dans ce cadre depuis toujours et je ne m’en lasse pas.

Cette région a été le refuge de Voltaire et accueille de nombreux fonctionnaires internationaux venant pour travailler dans les nombreux organismes et ONG présents à Genève.

Ce mélange de population, ce mix culturel et les échanges qui en découlent, donnent à ce petit territoire une ouverture sur le monde qui me ravit.

Qui suis-je ?

Jean-Pierre Bertrand
qui suis-je

J’ai grandi en passant mon temps de part et d’autre de la frontière. Ce statut de frontalier m’a permis d’évoluer en m’adaptant constamment aux us et coutumes de chaque pays et a contribué à faire de la tolérance, de l’acceptation des différences et de l’ouverture vers les autres un axe de vie prioritaire.

Après une enfance heureuse entourée d’une grande famille unie, j’ai passé mon baccalauréat au lycée international de Ferney-Voltaire puis je suis parti étudier dans une école de commerce à Aix en Provence. Quatre ans plus tard, diplômé et spécialisé en gestion financière, j’ai effectué mon service militaire dans la Marine Nationale.

Au cours de mes études, j’ai rencontré mon épouse, nous nous sommes mariés en 1996 et sommes les heureux parents d’un garçon et d’une fille.

J’ai commencé ma carrière professionnelle dans des postes orientés vers la comptabilité. Je n’ai jamais cessé depuis. Tout d’abord salarié en France, j’ai en 2000, rejoint la Suisse où j’ai occupé divers postes de comptable et de responsable administratif.

J’ai toujours aimé écrire. Je me suis essayé à la rédaction d’un livre vers l’âge de 25 ans mais je n’ai pas été au bout. Je me suis contenté de rédiger des courriers divers pour moi ou ma famille.

C’est fin 2019 que j’ai ressenti le besoin de poser sur papier mon parcours de vie. Ce fut une révélation. Les mots s’enchaînaient, les paragraphes se construisaient et je me laissais happer par mon histoire. 

Ce premier manuscrit m’a permis de me retrouver face à moi-même, a fait ressortir le plaisir qui m’habite lorsque je rédige un écrit. Il m’a aussi donné l’occasion d’exorciser une adolescence compliquée dans mes relations avec les autres personnes de mon âge.

Cette histoire restera sous forme de manuscrit mais avoir été fouiller au plus profond de mon intimité m’a fait prendre conscience qu’écrire était un exutoire, que mon imagination débordait d’histoires. qui suis-je

Je me suis alors plongé dans la rédaction d’un deuxième manuscrit, un drame où j’ai pris plaisir à faire ressortir les contradictions et l’ambiguïté des sentiments des protagonistes. Un fil rouge axé sur un meurtre donne une structure au récit mais n’en constitue pas le fond.

Après la publication de la Morsure de l’inimaginable, mon goût pour l’écriture n’a pas faibli. Avide de nouvelles aventures, j’ai repris ma plume.
Toujours avec cette volonté de confronter les sentiments des protagonistes et de les amener à dépasser leurs contradictions, j’ai imaginé une histoire pleine de rebondissements.
 
Le résultat est maintenant disponible. Le Patient de la chambre 10 va vous emporter dans une quête de vérité et vous faire jouer avec vos émotions.  Je vous laisse le découvrir.

Discutons-en !

Je dévore les livres, pas les gens.